Par
GILBERT CAMPREDON
Le 23/07/2017
Lâcher prise, ce n’est pas se montrer indifférent mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un d’autre.
Lâcher prise, ce n’est pas couper les liens mais prendre conscience que l’on ne peut contrôler autrui.
Lâcher prise, ce n’est pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c’est reconnaître son impuissance, c'est-à-dire que le résultat final n’est pas entre nos mains.
Lâcher prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi- même.
Lâcher prise, ce n’est pas prendre soin des autres mais se sentir concerné par eux.
Lâcher prise, ce n’est pas << assister >>, mais encourager.
Lâcher prise, ce n’est pas juger, mais accorder à autrui le droit d’être humain.
Lâcher prise, ce n’est pas s’occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, ce n’est pas materner les autres, mais leur permettre d’affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n’est pas rejeter, c’est au contraire accepter.
Lâcher prise, ce n’est pas harceler, sermonner ou gronder mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire.
Lâcher prise, ce n’est pas adapter les choses à ses propres désirs, mais prendre chaque jour comme il vient et l’apprécier.
Lâcher prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui, mais s’efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir.
Lâcher prise, ce n’est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l’avenir.
Lâcher prise, c’est craindre moins et aimer davantage.